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Conclusion | ||
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La cohabitation à COËTQUIDAN, entre l’aumônier militaire « du haut » et l’aumônier « du bas », le plus souvent « civil ou bénévole» ; nommé par le Diocèse de VANNES jusqu’en 1961 ; n’a pas toujours été non plus sans poser quelques difficultés.
La vie religieuse catholique était partagée entre deux aumôneries indépendantes, autonomes, mais néanmoins complémentaires. Aujourd’hui réunies, dans une seule et même paroisse militaire ; elle s’adapte aux réalités de son temps. Maintenant, les offices sont célébrés alternativement - en semaine et le Week-end -, dans les deux chapelles ; par le Père CLAVAGUERA. Leur accès est ouvert à tous. Seule, la messe du « Triomphe », cérémonie de fin d’année scolaire des Écoles Militaires ; a lieu à l’extérieur de ces enceintes ; initialement célébrée dans le « Théâtre de verdure » au Minerai, elle l’est maintenant -pour des raisons de sécurité- sur le stade Charles DE GAULLE. Comme on a pu le constater, la construction de la chapelle Sainte Jeanne d’ARC et sa lourde réhabilitation, la mise en place de l’orgue et sa restauration ; l’achat d’un orgue, d’une statue et bien d’autres améliorations à Saint PAUL ; n’ont pu être réalisés pour la plupart, que grâce à la générosité de nombreux donateurs. Qu’ils en soient remerciés. Bien sûr, le Diocèse de VANNES puis le Diocèse aux ARMEES ; le Commandement militaire et celui des Écoles en particulier, y ont largement apporté leur soutien. Je n’oublie pas les services du Génie et du casernement qui ont de leur côté, pris une grande part dans l’accomplissement de tous ces travaux. Mais il manque encore quelque chose : nous avons beaucoup parlé de Sainte Jeanne d’ARC, Sainte patronne secondaire de la FRANCE ; mais la chapelle qui lui est consacrée n’en possède pas de statue. Seulement une tenture murale du côté gauche. Alors peut-être qu’une souscription nouvelle … ou bien un généreux donateur ? Le Père MARCHAND, aumônier de la paroisse Sainte Jeanne d’Arc du 1er septembre 1995 au 21 décembre 2000, m’écrivait dans un dernier courriel, à propos de sa paroisse et j’en ferai ma conclusion : « Je pense que l’essentiel se trouve dans la régularité des célébrations ». Le Père Marchand s’était également intéressé à Charles de Foucauld ; la rue en face la chapelle Sainte Jeanne d’Arc porte en effet son nom. Il avait publié en 1997 dans la revue des Écoles, un hommage à l’ancien élève de Saint-Cyr. |
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